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« Mariage secret de Mathurin Gauven fils
de Jean et Mathurine Gesfrot fille de Pierre de Trémeur, célébré
le 27 novembre 1604 en présence de Dom Jean Gauven et Simone Tronnel ».
« Mariage de Mathurin Tronnel,
procureur fiscal au Plessix-Gautron et Jeanne Jacob, célébré le 27
février 1734 à la chapelle de St-Cado,
en présence de Françoise Lecorgne, Dlle Lanvin, Pierre et
Louie Rouxel, enfants de l’épousée, François Gauven, Mathurin Béart ».
Un aveu du 5 avril 1579 donne Amaury Gesrect & Marguerite
Bigare, un autre du 9
juillet 1596 cite Julien Houchet, fils de Guillaume, la même année
Rolland Réhel fils de Georges.
D’autres actes pour les quartiers du Préoury et St-Cadreuc
mentionnent en janvier 1605 : Guillaume Durand & Gillette
Deshayes, puis en 1621 Jacques Durand,
le prêtre Jean Taron parait le 24 janvier 1622. le 13 mai 1635
parait devant notaire Mathurine Poinczu
donnée veuve de Raoul Girard du quartier de Saint-Cado.
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Travaux
à la chapelle
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Juin 1991 à droite Bernard Lévêque
à l’origine
de la restauration de la chapelle
Pose
du clocher de St-Cado
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Bâtisse
à Saint-Cado
Détail
de la maison ci-dessus
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La
très vieille famille Houchet de St-Cado :
C’est
à travers les chartes de Boquen que l’on rencontre dès 1340 cette
famille à travers Raoul Houchet –voir Pomelin.
L’un
de ses probables descendants Jehan Houchet est cité dans un aveu le 25
décembre 1576 pour terres « au tènement du Pré-Oury »,
son fils Raoul est aussi cité dans un aveu en 1626, il avait épousé
Yvonne Poyrier qui lui donna au moins deux enfants : Roberde et
Gilles.
Roberde,
comme nous le verrons à l’article du Traversain épousa Jacques
Gauvain du Traversain, quand à Gilles, il épousa Gilette Martel dont
il eut quatre enfants : Roberde, née en 1610 mariée à Mathurin
Houeix ; Laurence, née en 1614 ; Jean, né en 1616, marié à
Marguerite Gesfros –leur fille Ollive 1655-1710 épousa Julien Bagay
(voir Botrel Priory); Julienne, née en 1619, mariée à Pierre Moisan.
La
famille Houchet avait
légué les pièces du champ de la Forge et du champ Moulin, afin de
pourvoir à l’entretien de la chapelle de St-Cado qui n’était pas
fondée.
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La
famille Fainan
Le
29 juillet 1606, a lieu le mariage de Bertrand Fénand de Bazouges la Pérouse
(35), et de Jeanne Durant de Sévignac.
Six
enfants naîtrons à leur foyer dont François
(ci-dessous) en 1616.
François Faisnans & Mathurine Perier s’épousèrent
le 8 janvier 1641, leur descendance s’établit au village de
St-Cado, puis au cours du XIXème siècle à Pengly et dans les
environs.
Les
derniers représentants sont actuellement dans le bourg de Sévignac et
aux alentours.
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Porte
cintrée St-Cado
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Porte
cintrée à double rangée de claveaux St-Cado
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LA
MOYNERIE
(Incorporé
dans St-Cado)
(Village disparu)
Familles
présentes à La Moynerie :
-Ménansac 1615-1740
(la Moynerie)
-Brillault 1670-1680
(Moynerie de St-Cado)
-Davy
1680-1760 (Moignerie)
-Legagnoux 1730-1740
(la Moynerie)
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La
famille Desriac :
A
l’article des Aulnais, nous avons vu
comment la famille Desréac s’était divisée.
A présent, nous évoquerons
la filiation issue de l’un de ses membres : Maître Jean Desréac
marié à Jeanne Lecollinet.
Né
le 10 février 1625, Maître
Jean Desréac s’éteignit le 28 octobre 1671. De son union avec Jeanne
Lecollinet était issu Pierre Desréac né en 1661, marié à Jeanne
Coueslan, ses descendants vécurent longtemps à Couévenneuc.
En
1836 on trouve de nouveau un certain Jean Desriac marié à Jeanne
Lecollinet, ils sont établis à St-Cado où ils exploitent une ferme,
mais leur fils Jean marié à Jeanne Réhel sera menuisier.
De
leur union est issu Jean-Marie Desriac. Marié à Marie Guyot,
Jean-Marie est l’auteur des Desriac de Saint-Cado et de La Villime.
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La
famille Gaultier :
Le 26
septembre 1683 se déroule en la chapelle de St-Cado le mariage de François
Gaultier de Dolo et de Perrine Gaultier.
Leur
fils François contracta union avec Anne Durand le 22 juillet 1717, ils
demeuraient aussi le village de St-Cado.
Durant
sept générations la famille s’est maintenue dans ce même hameau.
Paysans aisés, la famille a donné le jour à Marie-Ange,
le 8 septembre 1848, après son mariage avec Catherine Gesret,
la famille Gaultier s’est établie au Traversain où une maison
porte leur identité gravée.
Eugène,
fils des précédents, épousa en 1913 Anne-Marie-Régard, lui-même fit
construire une maison à la Vieille Porte. A présent, cette famille
s’est fondue dans les Odie et les Bedel de Broons.
3
janvier 1907
La
jeune R. 3 ans, tombée dans le foyer a été horriblement brûlée au
village de Saint-Cado à Sévignac.
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de
gauche à droite : André Chevalier, ancien commerçant au bourg,
Hippolyte Blin, Bernard Lévêque, l’abbé Jean Mahé, Rolland Gesnis
Au
lavoir de Saint-Cado
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Saint-Cado
autrefois
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LE PONT JOSSE
« Pierre
Loret et Marie Guitton et François Sohier accause de Michelle Bagay sa
femme, tiennent un e pièce de terre appelée les courtus Aunette,
contenant soixante cinq
cordes, joignant du costé d’orient au chemin qui conduit de
Saint-Cado au Pont Josse, du midy au clos Paulmier de Laurens Guitton,
d’occident
au chemin qui conduit des trois croix au dit Pont Josse, et du
Nord au closet Boisgerault cy après sur lequel courtil est deub un
quart et un demi seigle… »
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Vue aérienne de St-Cado et du
Traversain et Pengly
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