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(En
gallo Kotchiteu, 155 mètres d’altitude)
-breton :
coat
(Bois)
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Familles
présentes à Coquité :
-Huquet
1670-1890
-Duval
1690-1700
-Guyllois
1690-1700
-Devand
1690-1790
-R éhel
1700-1830 (un charpentier en 1810)
-Aubin
1750-1866
-Jameu
1730-1750
-Guérin
1750
-Béchemin
1740-1830 (Cosquité)
-Bougault
1755-1870
-Guitton
1760-1770
-Lorand
1760-XXème s.
-Cohuet 1770-1780
-Lecorgne 1790
-Henry 1810-1890
-Petitbon
1820-1830
-Sohier 1820-1830
-Lerin 1840-XXème
s.
-Rouvais
1840-XXIème s. (1 maçon en 1840)
-Eriac 1850-1860
-Morin 1850-1880
-Ribault 1860-1880
-Saillard 1860-XXème
-Gauvain
1870-1920
-Boisgéraux
1880
-Cormault
1880
-Lesénéchal
1880-1890
-Davy 1880-XXème
siècle
-Laurent 1890-XXème
siècle
-Araujo XXème
& XXIème s
-Touzé XXème siècle
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La croix Coémai à
Coquité |
| Le
premier juillet 1678, Jacques Huquet, de « Cosquisté »,
fils
de feu François et Jacquemine Gervesse présente, parait pour
recueillir la succession de terre à la Ville-Pereul de son père à
Beau Jardin. |
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Bâtisse
en ruine à Coquité |
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« Ce
16 janvier 1725, il est procédé à l’inhumation de Anne Jameu, fille
de François & Perrine Devran, garde vaches, âgée de 12 ans &
demi, morte noyée, témoins de l’enterrement : son père et sa mère,
et Laurens Devran son oncle. »
« Julienne
Petitbon, âgée de 61 ans, mendiante et aveugle depuis 6 ans, décédée
dans une grange à Coquité, fille de Joseph & Julienne Réhel, a été
inhumée ce 9 novembre 1827 en présence de François Laurend, 57 ans,
charpentier voisin, François Sohier, 45 ans, journalier voisin. »
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Détail de la bâtisse
en ruine |
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LES
LANDES DE COQUITE
(Dites
aussi Landes de la Mare aux pas)
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La
croix Gauvain/Piquet |
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Peu
après avoir longé ces landes, une croix récente attire l’attention,
la croix de la famille Gauvain. Mathurin Gauvain de Coquité & son
épouse Angèle Lerin eurent cinq enfants :
Marie-Françoise
1873-1891, Servan 1875-1876, Léon 1877-1878, Elise 1879-1881&
Mathurin 1882-1915 marié à Françoise Piquet.
Marie-Françoise
l’aînée mourut victime d’un cancer à l’œil, hors la
malheureuse était en train de garder les vaches de la famille quand
entendant dans les parages un corbeau croasser, dit aux petits patôuts
qui l’accompagnaient : cet oiseau là vient m’annoncer ma dernière
heure, effectivement le lendemain Marie-Françoise trépassait.
Ses
parents misaient tous leurs espoirs sur leur dernier enfant survivant :
Mathurin.
Ce
dernier épousa Françoise Piquet, mais quelque temps plus tard, la
guerre éclata, Mathurin devait y laisser la vie, c’était en
1915.
C’est
en hommage à ce dernier que sa famille fit ériger la croix visible peu
après les landes de Coquité au bord de la route.
La carrière Jacquot
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