LA
BASSE COUR
DE LIMOELAN
Familles
présentes à La Basse Cour :
-Clouet
1670-1815 (Lymoëllan)
-Delambilly 1680-1710
-Gauven 1690-1830
-Poirier 1690-1740 (village de Limoëllan)
-Tirel 1720-1770
(origin. de Bréhan-voir
Gresse)
-Réhel
1730-1740
-Santier 1730-1790 (Lymoëllan)
-Guichart 1740-1750
-Reboux
1740-1750
-Marochain 1750-1800 (Village Limoëllan)
-Guillaumet 1760-1770 (bois de la Brûlette)
-Chauvaux 1765-1770
(Maison Limoëllan)
-Leroux
1770-1810 (Lymouellan)
-Guitton 1780-1790
-Basset
1800-1850
-Picquet 1800-1870
(un menuisier en 1810/Basse-Cour)
-Gaubert 1820-1830
(un jardinier à Limoëlan)
-Brat
1820-1830
-Guyo
1820-1840
-Leclerc
1830-1840
-Gaultier
1840-1850
-Bedel
1853-1860
-Fromentin 1870-1880 (un jardinier à Limoëllan)
-Collin
1880-1890 (un jardinier à Limoëllan)
-Thomas
1890-1900
-Planchais (orig.de Loire Atlantique) XXème s.
-Hallouët XXème s.
-Bunouf XXème s.
-Saillard XXème s.
-Villory XXème s.
-Geffroy XXème s. (orig.de Carentoire, Morbihan) ***
-Henry XXème & XXIème siècle

plan du Château en 1825
LE CHÊNE DE MILLE ANS

Limoëlan,
le vénérable chêne séculaire dit chêne de 1000 ans |
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LE
COLOMBIER
La
viande étant rare au moyen âge, le pigeon permettait de varier une
alimentation presque exclusivement composée de céréales. Le droit de
colombier fit l’objet d’un règlement lorsque fut rédigée de 1312
à 1341 l’Ancienne
Coutume de Bretagne. Tout individu, noble ou roturier possédant une
surface de terre assez
vaste pouvait prétendre avoir un colombier, en 1539, un article précise :
« Il n’est permis à aucun de faire coulombier s’il n’avait
eu anciennement coulombier, ou s’il n’a si grande estendue de terre
au pays que les coulombs ne puissent pourvoir sur lui ou sur ses hommes. »
 
Le
colombier (XVIIème s.)
comptait près de 420 boulins,
au
début du XXème siècle, il était encore coiffé d’un toit.
Cliché
de droite : intérieur du colombier
En
1580, la Nouvelle Coutume devient plus stricte exige que pour prétendre
avoir un colombier, il faut trois cent journaux de terre, soit 150
hectares. Le docteur Jean Auffret dans son ouvrage Colombiers et
Pigeonniers en Bretagne profonde, explique que dans cette nouvelle
coutume, il est exigé que cette terre
devra être noble « en fief ou domaine noble. » Les
roturiers ayant acquis des fiefs ou de domaines nobles dotés de
colombiers pouvaient en posséder à la condition qu’il exista déjà
et que l’entretien en fut assuré. A
Sévignac, au manoir du Plessix-Gautron, un autre colombier
existait également. A
la Révolution, dans les
cahiers de doléances, nombre de citoyens demandèrent la
suppression des colombiers car cela causait beaucoup de préjudices aux
récoltes.
LA
FONTAINE DE LIMOELAN
Attenante
aux douves, la fontaine de Limoëlan était vénérée par les jeunes
filles désireuses de se marier dans l’année.
DESENVASEMENT
DES DOUVES DE LIMOELAN
 
1ère
& 2ème étapes : au commencement des travaux
 
3ème
& 4ème étapes : après les travaux
 
5ème
& 6ème étapes : la remise en eau progressive

Ancien
chemin à Limoëlan
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