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(En
gallo Limouélan, 128 m. d’altitude)
(Anciennement
Lismouelan)
-breton :
liz moëlan
Emprunté
au gaulois
médianos
(La
résidence de la plaine du milieu)
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Le
terme vieux-breton lis
vient
du gallois llys qui
signifie la cour, dans le sens de résidence seigneuriale.
L’administration civile
de la Bretagne au cours du Haut Moyen Age était aux mains des
machtierns, et tout
incite à penser que dès l’époque carolingienne ces résidences
existaient déjà,
toutefois,
ces lis aussi nommés les ou lez étaient des sortes de
retranchements défensifs -à Sévignac le Lysotou évoqué à
l’article de St-Cado et le Lézeul-, qui s’avérèrent très vite
inefficaces contre toutes attaques.
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Si
les indices plaident en faveur de l’ancienneté des lis,
on sait qu’ils furent
réutilisés beaucoup plus tard et nous en avons ici l’exemple avec
Limoëlan.
Précisément,
le Cartulaire de Redon, évoque
en 869 Roiantdreh et la qualifie de machtiern pour les paroisses de
Sévignac,
Plumaugat et Médréac.
Ainsi, le machtiern était à la communauté
civile de la paroisse ce que les prêtres étaient à la communauté des
fidèles.
Le machtiern était
indissociable de la paroisse et le machtiernat était une charge
héréditaire, c’était une institution propre à la Bretagne
de langue bretonne sans autre équivalent sur le continent, le lis étant
souvent l’une des résidences des machtierns.
Dans un premier acte la dite Roiantdreh apparaît en 846.
Selon ce document, Conwion, abbé du monastère de Redon,
se rendit au domicile d’une noble dame nommée Roiantdreh pour
qu’elle lui accorde en aumône tout ce qu’il devait recevoir de
l’héritage du prêtre Ritweten dans la paroisse de Médréac, biens
que celui-ci avait donnés à l’abbaye entre 841 & 848 en
s’y faisant moine. Un samedi 24 avril,
elle lui fit don, et un dimanche 2 mai, elle envoya son prêtre
Roentworet, avec un clerc, auprès de Conwion, à l’église de
Médréac,
pour que son aumône soit portée à la connaissance de tous les gens de
Médréac.
Six ans plus tard, après la mort de son fils, n’ayant plus que des filles, elle se rendit à Baulon, où se trouvait le
roi Salmon, qui régnait alors sur la Bretagne, et en échange de sa
protection, elle lui fit don de la paroisse de Sévignac et de ce qui
lui appartenait dans celles de Médréac et
de Plumaugat.
Voici en quels termes fut rédigé l’acte
d’adoption du roi Salmon par Roiantdreh,
document daté du 29 novembre 869 :
« Comme
il est de par la loi licite à chacun des nobles de faire ce qu’il
veut de son bien propre et de son propre héritage, de reconnaître qui
bon lui semble, d’adopter qui lui plaira pour fils et héritier, je,
Roiantdreh, fille de Louwenan, me voyant seule après la mort de mon
fils Euuen, *** privée et destituée de tout appui filial, je suis
venue trouver le vénérable prince Salomon, je l’ai adopté comme s’il était de ma chair,
je l’ai reçu pour héritier sur
tout ce que je possède actuellement : savoir le plou de Seminiac***,
ce que j’ai dans celui de Motoriac*** et dans celui de Maëlcat***, et
aussi sur ce qui doit me
revenir par droit
héréditaire de
sorte qu’ après ma mort il ait tout pouvoir de donner, vendre ou échanger
ces
biens, et que pendant ma vie, il soit mon gardien, le défenseur de tout
mon bien, qui lui reviendra, tout en entier, après mon trépas, sauf,
ce qu’il lui plaira de donner à mes filles ses sœurs. »
***Sévignac
***Médréac
***Plumaugat
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Acte
du 29 novembre 869 extraits du Cartulaire de Redon
A
la fin de l’acte est indiquée la généalogie de Roiantdreh, elle
remonte au 8è degré :
Urbien
guenuit Urbon, Urbon guenuit Iudon, Iudon guenuit Custentin, Custentin
guenuit Argant, Argant guenuit Iuduual, Iuduual guenuit Louenan, Louenan
guenit Roiantdreh.
Jedechael
engendra Urbien, Urbien engendra Urbon,
Urbon engendra Judon, Judon engendra Custentin, Custentin
engendra Argant, Argant engendra Juduual, Juduual engendra Lou(w)enan,
Lou(w)enan engendra Roiantdreh.
D’après
Jean Jacques Prado, voici cette généalogie dans l’ordre
chronologique:
-Iona 499
-Judual
530-587
-Juthaël 560
-Judicaël 590-650
-Urbien 620-680
-Urbon
650-710
-Judon
680-740
-Custentin 710-770
-Argant 740-800
-Juduual 770-826
-Louwenan 795-837
-Roiantdreh
815-869
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Rappelons
que le territoire qui
est le nôtre fut tour à tour
Civitas Cvriosolitvm sous l’Empire romain, lequel territoire était
rattaché à Fanum Martis autrement dit Corseul, que le dit territoire
était lui-même divisé en pagi autrement dit en pays, notre pays, situé
entre Rance et Arguenon,
devint pays entre deux eaux,
plus tard le Poudouvre.
Puis vers 450 de notre ère, la Civitas
Cvriosolitvm fut réorganisée face aux raids barbares,
en une circonscription militaire : Tractvs Armoricanvs
commandée par un dux avec garnison
et commandement militaire sous ordre d’un préfet siégeant à
Alet –St-Servan. C’est ainsi que Corseul perdit son statut.
Lors des
arrivées Bretonnes en Armorique, sur une période allant de la fin de
l’empire gallo-romain à la période carolingienne,
ce territoire reçut par les nouveaux migrants le nom de Domnonea,
ils venaient très certainement pour l’essentiel de l’actuel Devon
qui tire son origine de
la tribu bretonne dumnonis. (Voir
Ville-es-Brets)
Les
très anciennes chroniques
ont conservé le souvenir
de l’émigration bretonne. Au temps du roi Clotaire,
disent-elles, Riwall, prince de
« Grande-Bretagne »,
fils de Deroch de la famille royale de Gwent, au sud-est du Pays de
Galles, passa la mer avec une multitude de navires et posséda la
petite Bretagne, allusion à toute la partie nord, baignée par les eaux
de la Manche.
Déjà des religieux
encadrant des familles s’étaient établis ici, et bien que
minoritaires, ils imposèrent leurs propres structures sociales, calquées
sur le modèle d’Outre-Manche.
On a récemment étudié l’apport dû à la langue bretonne
dans les noms de villages sur
Rouillac et Sévignac, ils sont particulièrement élevés, ce
qui suppose que les deux localités devaient être particulièrement désolées
lors de l’arrivée des premiers migrants Bretons, comme le suggère
les lieux-dits Margaro et sa forme romane le Mézerays.
On a estimé que le
nombre de villages ayant des origines
bretonnes est
de 15%
à Rouillac,
et 20.6% à Sévignac,
Trémeur
11,6 %ce qui est considérable.
Le chroniqueur franc Frédégaire
a consacré quelques lignes aux relations entretenues par l’un
des successeurs de Riwall, il était nommé Judicaël
–IudicHael.
L’entrevue de Judicaël avec Dagobert, eut
lieu à Clichy,
en réalité, il s’agissait d’une réconciliation
entre les deux souverains,
elle faisait suite aux dégradations commises par les Bretons en
pays Franc.
D’autres saccages
attribués aux
Bretons, s’accentueront sous Charlemagne, au point que
l’empereur vint à maintes reprises à la tête de ses troupes,
incendier l’abbaye St-Jean de Gaël
-St-Méen et les bourgs voisins en guise de représailles.
Bien
des soulèvements se produisirent jusqu’à l‘avènement de Louis Le
Débonnaire qui eut l’intelligence de confier l’administration du
territoire Breton à un noble Breton : Nominoë.
Celui-ci sera fidèle à son empereur jusqu’à ce qu’il
meurt, mais ensuite, les rapports s’envenimeront quand Nominoë refusa
de prêter son aide à Charles Le Chauve.
La suite on la connaît, les
Bretons remportèrent une éclatante victoire sur les Francs, ce qui
permit d’affermir le pouvoir de Nominoë, c’est lui dit-on,
qui posa
les bases des évêchés bretons, et
permit à
la Bretagne d’avoir conservé son particularisme jusqu’à nos jours.
Erispoë fils et successeur de Nominoë enleva aux Francs
le Rennais et le Nantais, et régna jusqu’à ce que son cousin
Salomon ne le fasse tuer en l’an 857. Bien qu’inférieur
à ses prédécesseurs comme chef de guerre, Salomon n’avait
rien cependant d’un ambitieux vulgaire, il s’allia selon les
circonstances, tantôt aux Vikings -Northmen, (voir Ville Norme)
tantôt aux Francs, et obtint de s’intituler Roi de Bretagne,
et aussi chef du Maine et de la
presqu’île du Cotentin.
C’est lui que Roiantdreh adopta
comme héritier de Sévignac, une paroisse primitive qui
recouvrait un vaste territoire puisqu’elle comprenait Rouillac,
Trémeur, et une partie de Dolo.
Tout semblait
sourire à Salomon, il était fortuné, admiré et craint, mais
son prestige suscitait bien des jalousies. Il finit par être
assassiné en
juin 874 à Plélan Le Grand en un lieu baptisé depuis Le Merzer –Le
Martyr.
Qu’advint il alors de la paroisse primitive de Sévignac ?
Elle subit sans nul doute l’occupation Normande qui dura
jusqu’au premier quart du Xème siècle. Les villages de la Normandais
à Broons, de
la Ville Norme à Sévignac, et de la Ville-Anquetin–Ansketill à
Dolo laisse craindre le pire, au demeurant la présence d’une épée
scandinave dans le lit de l’étang de Jugon en dit long sur leur présence
dans notre contrée.
Précisément, c’est le comte de Rennes
Juhel, et
ses hommes qui résistèrent
contre l’occupant Normand, et quand
la défaite scandinave retentit, tout naturellement le comte de
Rennes et ses hommes s’emparèrent de ce vaste territoire qu’ils
contrôlaient allant
de la baie de St Brieuc au Couesnon et de la Manche à la forêt de Brocéliande
–Paimpont.
Un aussi vaste comté était difficile à
surveiller sans l’aide de ses vassaux. Une branche issue de la
Maison de Dol reçu l’escarpement rocheux dominant les méandres de la
Rance –Dinan, et ses vassaux : les châtelains de Dinan se virent
attribuer les sites stratégiques devenus depuis autant de seigneuries,
Limoëlan était l’une d’elles…
Deuxième
ordre dans la hiérarchie après celui des oratores, la noblesse voit
donc son pouvoir légitimé par Dieu, de même que les privilèges et
les droits que celle-ci détient sur ses fiefs : justice, impôts, levée
d’hommes .
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La
route conduisant à Limoëlan
Couronnement
de Louis X Le Hutin, ici entouré d’évêques,
parmi
eux sans doute Raoul Rouxelot de Limoëlan |
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Armes Kersaliou,
Chapelle des Beuves, Guémadeuc , Beaumanoir, d'Espinay,
Brionne-Lorraine.
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Armes
de Raoul Rousselet, évêque de Laon
Armes
Rouxelot & de Dinan/Montafilant |
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Le
noble doit, d’une part, protéger son fief au nom de Dieu
et il obtient, d’autre part, grâce à la cérémonie de la foi
et de l’hommage qui lie vassal et suzerain, un droit qu’il estime
supérieur à tout sur son fief.
A l’époque féodale, l’ancienne défense
primitive bretonne fut très certainement réaménagée, les fossés
furent comblés afin d’être inondés, devenant ainsi des douves. Précisément,
ce dernier point est intéressant quand on sait que ces douves
remplissaient un double objectif, le premier était certes d’être un
obstacle en cas d’attaque, le second but : les douves faisaient
office de viviers, et fournissaient le poisson aux seigneurs du lieu
durant la période du carême.
C’est très certainement la famille
Rouxelot qui fut la première à s’établir en ce lieu à l’époque
féodale. Le premier membre de cette famille
qui nous soit connu s’appelait Eon Rouxelot,
vivant vers
1270, il était marié à Isabeau du Chastelier,
fille du croisé Guillaume
du Chastelier -en Eréac.
(Voir aussi la Bouillère)
Guillaume Rouxelot, probable fils du
précédent fut l’un des exécuteurs testamentaires de Rolland de
Dinan en 1304. mais, sans nul doute, le personnage le plus illustre de
cette famille fut Raoul Rouxelot ; il naquit à Lismouelan et
devint clerc et conseiller juridique de Philippe Le Bel, l’histoire ne
dit pas s’il fut l’instigateur du procès que le Roi de France
engagea contre les puissants Templiers.
Sacré évêque de Saint-Malo en
1310, il succède à Robert du Pont.
Raoul Rouxelot transigea pour les dîmes de Montauban avec le
seigneur du lieu, en 1314, et
il mit d’accord le Chapitre de Rennes et l’abbaye de
Paimpont.
En
1317, il devint évêque de Laon, donc Pair de France. A diverses
reprises, on fit appel à lui afin d’intervenir dans des conflits,
c’est ainsi qu’il fut envoyé à Forez en Languedoc pour corriger,
les excès des gens de justice auprès du peuple de cette province, de même,
il fut amené à jugé Robert, comte de Flandres .
Il apaisa aussi le différent qui existait entre Isabelle de
Castille, duchesse de Bretagne et Guy de Bretagne.
Devenu exécuteur
testamentaire de Philippe Le Long, auquel le 30 octobre 1316 il remit
l’oriflamme de Régent en l’église de St-Denis afin de lutter
contre Robert d’Artois. C’est après avoir fondé au collège de
Laon à Paris deux bourses pour étudiants en théologie qu’il mourut
le 16 octobre 1323
–selon
Ogée.
« Raoul Rouxelet de la noble famille de Limoëllan fut sacré
l’an 1306 sous le pape Clément V, transféré à l’évêché de
Laon en Picardie l’an 1318, ce prélat reconnut en l’an 1315
le duc de Bretagne Jean troisième et ses successeurs, ses
souverains seigneurs, adouant tenir d’eux ses Regaires et tous ses
biens temporels, justices et juridiction immédiatement et no d’autres
et ajouta le droit de bastir chastaux et forteresses en tel endroit que
le duc vouloit et y mettre capitaines, gardes et officiers pour la garde
d’iceux »
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Le
sceau de Raoul Rouxelot est ogival.
On y voit un évêque debout, vu de
face, la tête surbaissée de trois-quarts, à gauche, mitré et crossé,
bénissant, accosté de deux croix recroisetées aux pieds fichés ;
de la légende, il ne reste que ce fragment…CLOVIEVSI…
le contre sceau mieux conservé représente le buste d’un évêque de
face, accosté de deux croix recroisetées aux pieds fichés avec ces
mots : …CONTRA. SIGILLVM. REGI. MACO. VICVSIS.
Le paragraphe précédent rapporté par l’historien Albert Le Grand évoque
les rapports qu’entretenaient Raoul Rouxelot et le duc de Bretagne
Jean III, hors, précisément, ce duc étant mort sans héritier, sa
nièce Jeanne de Penthièvre et son mi-frère Jean de Montfort se
livrèrent une guerre sans merci dite Guerre de Succession de Bretagne,
prémices de la Guerre de 100 ans.
Elle ne trouva sa finalité qu’en
1364 avec le Traité de Guérande par lequel la duchesse de Penthièvre
reconnaissait le fils de Jean de Montfort pour duc de Bretagne.
Durant
cette période de guerre civile que les Bretons se livrèrent et par
leur intermédiaire Français & Anglais, deux chevaliers
s’illustrèrent : Bertrand du Guesclin fut le premier,
Jehan Rouxelot, fut le deuxième.
Ils avaient pris parti pour
Jeanne la boiteuse comme on désignait alors l’infortunée duchesse de
Penthièvre, et au cours de la Guerre de Succession, un épisode est
resté
inscrit dans les annales,
le combat des Trente.
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Le
combat des Trente
Digne
leçon de la chevalerie médiévale, en 1351, trente chevaliers du camp
Montfort rencontrèrent sous le commandement de
l’Anglais Bemborouth 30 chevalier du camp adverse, sous le
commandement de Beaumanoir.
La rencontre eut lieu en champ clos. Armé
chevalier en 1351 (voir
le Plessix-Gautron),
Jehan Rouxelot de Limoëlan fut blessé lors de cette fabuleuse
rencontre d’où son camp sorti vainqueur.
Les manuscrits qui relatent
les faits disent de lui : « Messire Jehan Rouxelot qui a
un cœur de lion, fut féru jusqu’à sa mort. »
La ville de
Rennes fut assiégée par les Anglais en 1357,
Guillaume Gauteron, gendre de Guillaume Bataille,
seigneur du Plessix, participait à la défense de cette cité, la capitale Bretonne aurait sans doute capitulé sans l’astuce de son capitaine du Guesclin.
En effet, ce dernier se saisit d’une truie près d’une des portes de
la ville, il l’a fit crier, et en l’entendant, tous les porcs se
mirent à courir vers la ville, sans que les « Anglois »
ne parvinrent à les en empêcher.
Mais laissons là cet épisode et
revenons à Limoëlan. Jehan Rouxelot n’ayant pas d’héritier mâle,
c’est sa fille Jéhanne qui recueilli la seigneurie. Jéhanne Rouxelot épousa Louis de Dinan, fils de Rolland III
et de Thomasse de Châteaubriant, Jéhanne
Rouxelot morte en 1422, avait donné le jour à deux enfants :
Thomine de Dinan, unie avec Etienne Gouyon et Roland de
Dinan, époux de Clémence
Carbonel, Roland
étant mort sans enfants.
Clémence Carbonel se remaria à Pierre de Brézé,
seigneur de la Varennes duquel elle était veuve en 1451.
Jéhanne
Rouxelot ayant adopté pour héritier de ses terres Roland de Kersaliou,
Clémence Carbonel plaida contre Roland de
Kersaliou, mais après procès, ce
dernier fut conduit dans son bon droit. Ce même Roland de Kersaliou
apparaît dans un aveu en date du 6 septembre 1447,
où on le trouve en désaccord avec ses vassaux. (Voir
Rouillac).
Un
aveu daté du 3 avril 1532, signale une vente par Amaury de Rouillac à missire Jacques de Kersaliou
de Limoëlan.
Tout laisse penser que le château de Limoëlan fut
reconstruit vers la période
des XV-XVIèmes siècles, le double porche piéton-cavalier est typique
de cette époque. L’enceinte de cet ancien château est de forme ovoïde
de 75 à 65 mètres d’axe, la pointe tournée vers le Nord, avec
douves pleines d’eau de 1mètre à 1,50 mètres, avec entrée unique
par un pont sur l’ancien château adossé aux douves.
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