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-latin :
villa
(Domaine
rural, celui des
Ewen)
(Anciennement
le Clos Mélevain)
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Familles
présentes à la Ville Even :
-Leray
1640-1740
-Gallan
1690-1740
-Hamonic
1690-1740
-Letexier
1690-1740
-Lentais
1700-1780
-Gesret
1720-1730
-Legac
1720-1780
-Peroche
1720-1730
-Bedel
1730-1740 (Villeven)
-Cohuet
1730-1780
-Lentaye
1730-1780
-Guéguen
1730-1740
-Avelinne
1730-1740
-Ribault
1730-1775
-Réhel
1740-1750
-Guitton
1740-1780
-Langlois
1740-1750
-Poirier
1730-1750
-Bedel
1740-1750 (Vilven)
-Huquet
1740-1760
(Ville Vent)
-Berhault
1750-1770
-Bourseul
1750-1760
-Guérin
1760-1770
-Sébille
1760-1770
-Briand
1770-1780 (Vilevain)
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Ouverture
à la Ville-Ewen
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Détail
d’une ouverture datée
1786
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A
la Ville-Ewen
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En
1607, au Clos Mélevain Olivier Bertheu & Mathurine Lescouët possèdent
le pré des Nonettes.
La
famille Ribaut de la Ville Ewen :
Yves
Ribault, époux de Louise Cohuet, s’éteignit à la Ville Ewen le 10
juillet 1734, il était âgé de 35 ans et laissait
une veuve ainsi qu’un fils prénommé Jean, alors
âgé de 2 ans.
Jean Ribault contracta mariage avec Anne Lebreton
dont il eut huit enfants, parmi ceux-ci : Angélique-Jeanne Ribaut
qui vit le jour le 14 décembre
1776. Angélique-Jeanne décéda
peu après, mais le registre des décès de Sévignac enregistra
sa mort d’après le registre des Sépultures de l’hôpital
Port-Louis à L’Isle de France, soit le 31 décembre 1776.
Les autorités de cette époque encourageaient ces exodes,
parfois elles les obligeaient, ceci afin de peupler ces nouvelles
colonies, toutefois, dans le cas de la famille Ribault, sa présence à
l’Isle de France correspond à la période sous laquelle cet archipel
était sous mandat anglais.
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| « Renée
Peroche de la Guerche accouche ce 3 octobre 1723 d’une petite Jeanne
Leray, l’enfant est donnée pour fille de Gabriel Leray, et la dite
Renée Peroche, était venue voir ses parents se disant veuve dudit
Leray depuis 6 mois. »
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Port Louis aujourd’hui
capitale de l’île Maurice
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Détail
d’ouvertures à la Ville-Ewen
1673
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temps des colonies :
Profitant
de l’affaiblissement des puissances espagnole et portugaise, au XVIIe
siècle, les Français s’établirent
aux Antilles (colonisation de la Martinique, de la Guadeloupe et de
Saint-Domingue), ainsi que dans l’océan Indien et en Inde. Au
début du XVIIIe siècle, la France possédait, outre les territoires
d’Amérique et des Antilles, quelques comptoirs commerciaux au Sénégal,
l’île de France (actuelle île Maurice) et l’île Bourbon
(aujourd’hui La Réunion) dans l’océan Indien et quelques comptoirs
aux Indes dont les principaux étaient Pondichéry et Chandernagor, établis
en 1673-1674.
Bien que peuplée depuis moins de quatre cents ans,
Maurice a probablement été visitée par les Arabes avant le Xe siècle,
par les Malais au début du XVe siècle et par les Portugais au début
du XVIe siècle. Elle est encore déserte lorsque les Hollandais la
baptisent Mauricius, en 1598, en l’honneur de Maurice de Nassau, alors
stathouder des Pays-Bas. Ils y établissent quelques colonies au
cours du XVIIe siècle, mais abandonnent l’île en 1710.
Cinq ans plus
tard, les Français en prennent possession et la renomment « îsle de
France ». Conquise par les Britanniques en 1810, au cours des guerres
napoléoniennes, puis cédée officiellement au Royaume-Uni en 1814 ,
l’île reprend le nom de Maurice
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La
famille Even :
Une
famille Even, dont le nom est aussi orthographié Evain est présente à
Sévignac à l’aube du
XVIIème siècle, elle a pour membre Olivier
Evain marié à Hélène puis à Yvonne Briand.
Huit
enfants naissent du premier mariage d’Olivier :
Gilette
née en 1603 ; Yvon né en 1605 ; Pierre né en 1606 &
son jumeau Robert ° 1606
ép. Gilette Menguy; François né en 1607 ; Jacquemine née en
1608 ; Julien né en 1609 ; Julien né en 1610.
Huit
autres enfants naîtront du second mariage :
Julienne
née en 1615 ; Guy né en 1617 ; Guillaume né en 1619 ;
Gilette & Jeanne nées
en 1621 ; Mathurine née en 1623
+ 1688 ép. Jacques Lorêt des Portes ; Jeanne & Nicole
nées en 1626.
De
l’union de Robert Evain & Gilette Menguy naissent : Laurent né
en 1623 ; Julien né en 1633 ; Olivier né en 1634 ;
Julienne née en 1635.
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A l’article de Limoëlan, nous
savons qu’en 869 un dénommé Ewen était fils de celle qui possédait
la paroisse de Sévignac, au demeurant, la chapelle de Brondineuf est en
partie dédicacée à St-Ewen (voir Limoëlan & Brondineuf)
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Les
Forges & la Ville Ewen, d’après une vue aérienne
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