43 / 1 - PETITE HISTOIRE DES LUNETTES.

Nos lunettes, tellement communes, aujourd'hui, que l'on pense qu'elles ont toujours existées, pourtant :

Les anciens ne connaissaient que les pierres précieuses taillées qui faisaient loupe (NÉRON, myope, en utilisait).

Les lunettes apparaissent à la fin du XIII° siècle (uniquement pour le grossissement)

- Grâce au philosophe anglais Roger BACON (1220-1292) ?

- Grâce au florentin Salvino DE CORTI ARMATI (mort en 1327) ?

Les verres correcteurs sont apparus grâce à Benjamin FRANKLIN.

Cécile LE JEAN nous conduit à travers Pince-nez, Face à main, Lunettes d'approche . . 

43 / 2 - COLPORTEURS ET MARCHANDS AMBULANTS.

Monique JÉZÉQUEL nous parle de ces gens craints, aimés et haïs à la fois.

Ils apportaient, des produits indispensables à la vie de tous les jours (ciseaux, aiguilles . . . ), livres et surtout des nouvelles qu'ils " colportaient " jusqu'à la ferme la plus retirée.

Les services publics ont toujours voulu contrôler les écrits diffusés et, bien sûr, leur faire payer des impôts.

Les pauvres, ils finissaient souvent leur vie loin de chez eux, mendiants ou même dévalisés ou tués au coin d'un bois.

43 / 3 - LA CONSTRUCTION DE L'ÉGLISE SAINT MICHEL DE SAINT BRIEUC (1837 - 1841).

C'est un document sortant d'un fond familial et écrit par l'abbé JOSSELIN qui était alors curé de Saint Michel qui nous permet de suivre la destruction de l'ancienne église et la naissance de la nouvelle église.

Il nous donne en particulier une description détaillée de l'ancienne église et de son état de délabrement.

Il nous fait vivre aussi la construction avec tous ses aléas.

43 / 4 - JEUX DE FAMILLE.

Joseph LOHOU nous fait remarquer que la Généalogie française a permis de développer des notions de loisirs et de plaisir mais qu'il ne faudrait pas passer à coté d'autres aspects comme, par exemple, la mise en évidence d'une " religion " familiale.

Il nous donne des exemples (reconstitution de la mémoire, photographies) sur lesquels il serait bon de réfléchir.

43 / 5 - HOMMAGE À GLAIS-BIZOIN : PÈRE DU TIMBRE POSTE

C'est donc un costarmoricain, Alexandre GLAIS-BIZOIN, qui est le vrai père du timbre Poste et non pas ARAGO, qui, lui, se contenta d'apposer sa signature au bas d'un texte déposé par notre compatriote, un an plus tôt .

Un autre côté sympathique du personnage est qu'il lutta contre l'impôt sur le sel.

43 / 6 - BÉCASSINE EST PARISIENNE.

Près de 80 % des candidats au bac le passent avec succès.

Voici quelques affirmations qui, nous l'espérons, viennent des 20 % restants.

À titre d'exemple : " La Bretagne est réputée pour ses asiles de fous " !