35 / 1 - LES CARRIERS ET LES CARRIÈRES DE GRÈS ROSE D'ERQUY. 

(Résumé de la conférence donnée au CG 22 par Monsieur JP LE GALL LASALLE le 14 décembre 1996).

Nous apprenons ainsi que " l'enfer des pavés du Nord " n'existe que grâce au grès d'ERQUY, que les cyclistes se le disent !

Ouvertes en 1840, en bord de mer, près du four à boulets (pour ceux qui connaissent le coin), les déchets étaient abandonnés au pied de la falaise, ce qui, selon les uns, défigurait le paysage, selon les autres, chassait les crevettes. La guerre de 14-18 fut fatale à cette exploitation , elle vivotera jusqu'en 1940.

Pendant la guerre de 39-45, elle retrouva une brève activité pour fournir le chantier du " Mur de l'Atlantique ".

35 / 2 - MYSTÈRES ET LÉGENDES DE BRETAGNE.

(Résumé de la conférence donnée au CG 22 par Monsieur Christian QUÉRÉ le 11 janvier 1997). 

La Bretagne est "religion" depuis toujours, elle est " située à mi-chemin entre le rêve et la réalité ". 

Les celtes y arrivant se sont " emparé " des dolmens et des menhirs qui les avaient précédé plusieurs dizaines de siècles auparavant. Les légendes qui naquirent sont légion, rares sont les sources, fontaines et étangs qui n'ont la leur.

Le christianisme ne fit que suivre le mouvement en accaparant à son profit ce qu'il ne pouvait faire disparaître (n'oublions pas que le Pape se réserve le droit exclusif de nommer les " Saints " et ce depuis 1234).

Article à lire absolument.

35 / 3 - CHANTS DE MÉTIER : LES CAP-HORNIERS.

Jeannine N. BLONCE nous fait entrer dans " la grande épopée des cap-horniers " de Yves LE SCAL.

Les chansons de bord de ces hardis marins avaient toutes une signification bien précise : elles aidaient à la manœuvre.

Elles se divisaient en trois familles :

• Les chansons à hisser.

• Les chansons à virer.

• Les chansons à ramer.

Le rythme des airs tenait compte de la cadence des efforts à fournir et des mouvements du navire. 

Surprenant.

35 / 4 - LE RECTEUR, LES RELIGIEUSES ET . . . LE CG 22.

Pierre LE MOING nous relate les malheurs des recteurs successifs de LOGUIVY-lès-LANNION face à la " mauvaise foi " des religieuses augustines de QUIMPER, qui en 1667, prirent en main les destinées de l'Hôtel-dieu de LANNION.

Il est vrai que la dépendance des sœurs à un évêché différent de celui dont relevait le clergé séculier était bien tentante !