33 / 1 - LA TUTELLE, UNE PROTECTION POUR LES ORPHELINS . . .UNE MINE DE RENSEIGNEMENTS POUR LES GÉNÉALOGISTES.
Le décès du père conduit à la désignation d'un tuteur pour les enfants.
Le tuteur est désigné par un conseil de famille. Conseil formé par six parents de la branche paternelle et six de la branche maternelle (que des hommes . . . bien sûr ), si ce nombre pouvait être atteint. Lorsque la mère était survivante, elle était tutrice, sans problème, mais si elle était prédécédée c'était une autre affaire.
Jean LE TALLEC nous en apporte la preuve.
33 / 2 - UN PLÉRINAIS : JEAN-OLIVIER BRIAND, ÉVÊQUE DE QUÉBEC SOUS LA DOMINATION
ANGLAISE.
S'il est relativement facile de conduire sa vie lorsque l'environnement est favorable, cela est beaucoup plus difficile lorsque l'adversité vous entoure. André GUIGO nous le montre en nous narrant la vie de Jean-Olivier BRIAND, qui naquit le 23 janvier 1715, dans la paroisse de Plérin, et qui, alors qu'il était au Québec, eut la rude tâche de défendre l'Église catholique face à la religion officielle d'une Angleterre victorieuse.
33 / 3 - UN USEMENT : LA QUÉVAISE.
Jeannine N. BLONCE évoque un type de relation Propriétaire-Exploitant nous venant du moyen-âge, en Basse Bretagne et qui ne survécut pas à la Révolution.
On ignore son origine, son étymologie divise les historiens, mais la Quévaise possède deux originalités surprenantes :
Pour en savoir plus . . .
33 / 4 - LA VIE DE GOËLO À LA FIN DE L'ANCIEN RÉGIME.
Cette fois, Jeannine N. BLONCE, décidément intarissable, nous parle du domaine congéable.
Sorti de la nuit des temps (on suppose qu'il remonte au VI ème siècle) il ne survivra pas, non plus, à la Révolution.
C'est un bail où le locataire est propriétaire des bâtiments de l'exploitation et des arbres, à condition que ce ne soient pas des bois de charpente.
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