.09 / 1 – EXPLICATION DU CODE NAPOLÉON / 1865.

Gaston DEPAGNE nous apporte des compléments d’information bien utiles pour compléter le dossier « Mariage aux XVIII et XIX siècles » paru dans le bulletin 08.

On voit qu’il vaut mieux être femme au XX ème siècle qu’aux deux siècles précédents.

09 / 2 – LES MÉTIERS D’AUTREFOIS [SUITE].

Horlogeur / Horloger, la signification de ce métier ne souffre aucun doute, mais grâce à Jeannine N. BLONCE nous découvrons que ce métier en fédère bien d’autres : verrier / peintre en lettres / émailleur / outilleur / découpeur . . . Un monde dans une horloge !

09 / 3 –  CULTURE MARAÎCHÈRE ET NOMADISME / LES MARCHANDS D’OIGNONS.

Les sauniers, dégoûtés par les tracasseries de la gabelle, d’Yffignac à Langueux, se tournent vers la culture des oignons.– Les marchands de St Brieuc vendaient en France et en Angleterre.– Les agriculteurs vendaient localement une partie de leur production.– Les colporteurs sillonnaient les routes, ce sont nos marchands d’oignons.

Après la récolte, début septembre, ils partent sur les routes pour quatre mois, à mi-parcourt ils retournent se réapprovisionner ou c’est leur famille, qui, par le train leur apporte la marchandise manquante.

Jeannine N. BLONCE nous sert de guide.

09 / 4 – LES MARCHANDS DE CHEVEUX.

À cheval sur les XIX et XX èmes siècles, les foires, les marchés et les pardons voyaient de curieux commerçants, « Les Marchands de Cheveux ».

Les Côtes du Nord, à elles seules, fournissaient autant de cheveux que les quatre autres départements bretons réunis. Les perruquiers traitaient cette matière première suivant la couleur et la longueur pour en faire perruques, postiches et autres chignons.

Jeannine N. BLONCE nous montre le doute et l’angoisse de celles qui vendaient leur chevelure.

09 / 5 – LES MÉTIERS D’AUTREFOIS [PRÉCISIONS].

Les Pillaouers de Jeannine N. BLONCE (bulletin07) permettent à Renée LE ROUX d’apporter d’autres précisions.

C’est parfait, le bulletin remplit parfaitement son rôle : lieu d’informations et d’échanges.